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 Cet éboueur, mon héros ! ; ft. Reita

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Cet éboueur, mon héros ! ; ft. Reita Vide
MessageSujet: Cet éboueur, mon héros ! ; ft. Reita Cet éboueur, mon héros ! ; ft. Reita EmptyMer 17 Déc - 12:05



❝Cet éboueur, mon héros !❞
Moon Hae Mi & Yamamoto Reita
Avec les fêtes, le besoin d'argent se faisait ressentir. Je n'avais certes pas de petit ami à gâter, ni d'enfants à couvrir de cadeaux, mais j'avais tout de même des parents, que j'aimais de tout mon coeur, et que je voulais rendre heureux. Ils ont tout fait pour que je sois moi-même heureuse et que je ne manque de rien, encore maintenant. Je pouvais donc bien leur rendre la pareil ! Mais en période de fête, j'avais certes des clients réguliers qui me demandaient de venir les pouponner quelques jours avant ces deux grands soirs, mais j'avais également des clients qui avaient besoin de moi juste pour une seule fois, histoire de ne pas stresser et pouvoir se détendre l'espace d'une petite heure ou deux, et ne penser à rien si ce n'est se faire belle et choisir les couleurs à mettre sur le visage et les design à faire sur les ongles.

J'avais l'année dernière fait des petits flyers que j'avais laissé dans les salons de thés et quelques magasins qui ont eu la gentillesse de m'accorder une place pour mes flyers sur leur comptoir. Cela m'avait rapporté une dizaine de clients en plus en quelques jours seulement. Ca paraissait peu dit comme ça, mais quand on calcul avec mes tarifs qui sont dans la norme de ce qu'on pouvait trouver, et encore en dessous des instituts de beauté, quelques jours me rapportait très gros. Cette année, j'avais décidé de ne pas lésiner sur mon travail : je ne comptais pas prendre de journée de repos, et travailler également les week-ends, étant donné que beaucoup de monde était plus disponible en week-end. Et pour avoir encore plus de clients, je comptais aujourd'hui ré-utiliser mes flyers mis au goût du jour, mais cette fois-ci, je comptais les glisser dans les boîtes aux lettres ! Une façon beaucoup plus simple d'avoir énormément de clients.

Et pour ce faire, je m'étais levée très tôt aujourd'hui, pour pouvoir ainsi glisser les flyers dans les boîtes aux lettres de mon quartier ainsi que peut-être du quartier voisin, avant que les habitants ne relèvent leur courrier. J'étais donc fin prête, et je mettais ma veste et remettais correctement ma grosse écharpe - il faisait froid, tôt le matin ! Mon sac à main d'un côté, et un sac de courses remplis de flyers de l'autre, je sortais de mon appartement, prête pour la journée. Un frisson s'empara de mon corps lorsque mon nez senti le froid, mais ça n'allait pas me faire baisser les bras. J'étais dehors en même temps que les éboueurs, apparemment. Je riais intérieurement, m'imaginant qu'ils allaient donc me suivre sur mon chemin puisqu'ils allaient également faire tout le quartier. Je commençais à mettre mes flyers dans les boîtes aux lettres, puis dépassais une petite ruelle où il y avait généralement un foutoir monstre des deux maisons voisines, pour continuer à déposer mes bouts de papier. Sauf que je ne vis pas cet homme sortir de cette dite ruelle, et qui courrait pour arracher mon sac à main de mon bras. Je me débattais en criant contre lui, retenant de toutes mes forces mon sac à main, mais l'homme, bien plus grand que moi, profita d'un petit moment de faiblesse pour me pousser à terre et récupérer mon sac à main, et partir en courant avec.

- Aidez moiii ! Au voleeuuur !

Je ne savais pas qui pouvait m'entendre, avec le bruit que faisait les éboueurs. Tout ce que je savais, c'était que j'étais par terre, et que je grimaçais en sentant la douleur qui envahissait mon dos. Je me redressais et me retournais tout en grimaçant. J'étais tombé sur un très petit muret qui séparait deux petits jardins, et qui était venu martyriser mon dos. Aïe. J'essayais tant bien que mal de me relever, en regardant en direction de là où le voleur était parti avec mon sac.



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Yamamoto Reita
Yamamoto Reita
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MessageSujet: Re: Cet éboueur, mon héros ! ; ft. Reita Cet éboueur, mon héros ! ; ft. Reita EmptyMer 17 Déc - 23:20

"Quatre heures du matin. C'est l'heure de se lever. Debout, debout ! Quatre heures du matin. C'est l'heure de se lever. Debout, debout !" J'ouvre doucement les yeux, réveillé par les cris de mon réveil. Je déteste ce réveil. Je ne sais pas ce que j'attends pour en acheter un autre. Peut-être déjà, d'avoir plus d'argent question de faire ce genre de dépense plus ou moins inutile. Je me redresse doucement, en me frottant les yeux, attrape le réveil et m'apprête à le fracasser violemment par terre, mais je me retiens une seconde avant pour simplement l'éteindre. Je soupire, me gratte la nuque et file prendre une douche. Quatre heures du matin, l'heure de se réveiller, oui, pour arpenter les rues dans un froid hivernal, avec le bruit assourdissant du camion, des collègues presque aussi déprimés que moi, l'odeur des déchets des autres pour lesquelles j'ai fais autant d'études. Nettoyer la merde des gens. Décidément...

Une fois prêt, je me dirige précipitamment vers mon lieu de travail, qui n'est qu'à vingt minutes à pied. Pratique quand on n'a pas de quoi se déplacer, ni assez de sous pour utiliser les transports. Et puis, ça me fait faire mon petit sport matinal. Marcher dans les rues calmes, avant le lever du soleil n'est pas une si mauvaise chose, au contraire, cela a même un côté presque apaisant. Une fois arrivé, je salue mes collègues avec un sourire à moitié réveillé. Je file dans les vestiaires, enfile ma combinaison d'éboueur, prend un café avec les autres avant de commencer la tournée. Nous en avons au moins pour deux heures question de faire le tour entier du coin. Plusieurs rues à nettoyer, ainsi que quartiers, même les ruelles les plus petites et les plus désertes... Et il fait un froid de canard. Je monte à l'arrière du camion avec mon collègue, et observe les maisons encore endormies, bien au chaud. Bon... Si je commence à réfléchir comme ça, je vais passer une sale journée. Il faut penser positif. J'ai un métier, des collègues sympas, et un super moyen de transport qui pue, yeah.

Une bonne demie heure de parcours après, je descends à nouveau pour placer vider un bac de poubelles de plus. Puis soudainement, j'entends en face, une porte qui s'ouvre. Oh, des matinaux on dirait. Je me retourne pour voir de qui il s'agit, puis remarque cette jeune femme. Tiens, c'est vrai, on est dans cette rue... Ce n'est pas la première fois que je vois cette fille. Un énorme bruit se produit quand la poubelle se vide dans le camion, et je reprend le bac pour le remettre à sa place avant de prendre celui à côté. Pendant que la machine fait son travail, je repose les yeux sur cette femme. Souvent, quand je suis en charge des tournées du soir, je la vois rentrer chez elle. Ca fait un moment maintenant. Je souris doucement alors que je la suis du regard, marcher dans la rue et s'arrêtant à quelques boites aux lettres, pour y mettre je ne sais quoi. Je repose le bac, remonte à l'arrière et le camion avance à nouveau à quelques mètres. Je me demande bien ce qu'elle fabrique. "Elle est mignonne hein ?" me dit mon collègue. Je le regarde avant de rire un peu. "J'ai remarqué que tu la regardais chaque fois qu'on passait dans les alentours. Pourquoi tu n'irais pas la voir un de ces quatre ?" Pff. Je ne réponds même pas à la question. Comme si ce n'était pas assez évident comme ça. Pendant dix minutes encore, nous continuons le parcours, nous arrêtant tous les dix mètres pour vider chaque bac. Tu parles d'un sport. Très odorant en tout cas. Puis soudainement, j'entends des cris. "Aidez moiii ! Au voleeuuur !" Je me retourne pour voir ce qui se passe, quand je vois la jeune femme au sol, son sac en moins, et un type qui se tire en courant avec ce dernier.

-Qu'Est-ce qui se passe ? Il lui a piqué son sac ?

Je m'approche précipitamment d'elle, la regarde quelques secondes avant de me mettre à courir, tapant un sprint comme j'en ai rarement fait. Très vite, je rattrape le voleur, récupère le sac, avant de l'assommer avec un énorme sac poubelle qui trainait sur le trottoir. On râle souvent sur le fait que les gens se permettent de poser leurs ordures à côté des bacs, au lieu de simplement les foutre dedans. Ben aujourd'hui, ça aurait servit à quelque chose. Essoufflé, je balance le sac poubelle au sol avant de revenir vers la jeune femme, un petit sourire aux lèvres. Je me penche pour prendre sa main, afin de l'aider à se relever tout doucement, avant de lui rendre son sac.

-Vous allez bien ? Je peux appeler quelqu'un si vous voulez.

Je la lâche ensuite avant de continuer :

-Excusez moi, j'ai les mains sales.

Et je pue avec ça. Je sors mon téléphone, m'apprêtant à appeler les secours, sous le bruit assourdissant du camion, avec mes collègues qui continuent le travail comme si de rien n'était. L'un deux me fait d'ailleurs un énorme signe positif. Tss, ceux là...
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MessageSujet: Re: Cet éboueur, mon héros ! ; ft. Reita Cet éboueur, mon héros ! ; ft. Reita EmptyJeu 18 Déc - 1:07



❝Cet éboueur, mon héros !❞
Moon Hae Mi & Yamamoto Reita
Je n'habitais pas dans un quartier dangereux, loin de là. Et ce n'était pas à cette heure là que les voleurs commençaient leur journée, puisque à part essayer de voler dans les poubelles ou de voler les éboueurs directement, il n'y avait pas grand monde qui sortait. Sauf moi. Et cet homme qui devait sûrement de rentrer d'une soirée bien trop arrosé vu l'odeur laissé sur ma manche de veste et qui a profité de l'opportunité qui se présentait à lui pour m'arracher mon sac. Après tout, c'était le cadre idéal : il faisait encore nuit, et il y avait un bruit à en réveiller tout le quartier, bien que tout le monde soit habitué au point de ne plus être réveillé par ça. Personne n'entendraient les cris d'une jeune femme crier au voleur, ou penseraient que ce n'était qu'une vieille femme folle qui criait après les éboueurs qui lui auraient volé ses affaires.

Je m'étais fait jeté contre un petit muret, juste assez haut pour qu'il me rentre dans le dos. Je grimaçais rien qu'en imaginant la blessure et l'énorme bleu que je devrais sûrement avoir. Ou que j'avais déjà, étant donné qu'un coup comme ça me marquait très vite. J'époussetais mes mains pleine de terre et d'herbe juste avant qu'un des éboueurs ne vienne me voir, puis commencer à courir après le voleur. Je restais assise à le regarder, vraiment trop surprise que quelqu'un m'ait entendu, et surtout qui soit venu à mon secours. Je me voyais déjà aller à la gendarmerie pour déclarer un vol et devoir refaire mes clés et mes papiers, bloquer mes cartes, etc. Je regardais si ce sauveur réussissait à rattraper mon voleur, et le vis mettre une raclé et récupérer mon sac. Je souriais en essayant de me relever, mais il était déjà revenu. Je prenais la main qu'il me tendait et me relevais grâce à son aide. Je prenais mon sac lorsqu'il me le tendait.

- Merci beaucoup..

Je ne lui avais même pas répondu, puisque la première chose qui me venait en tête était de le remercier. Je le regardais alors plus longuement. C'était un étranger, sûrement un japonais. Mais il était jeune, beaucoup trop jeune pour faire ce métier, malheureusement. Je le voyais alors sortir son téléphone portable.

- Non ce n'est pas la peine d'appeler quelqu'un, je vais bien, ne vous en faites pas..

Je lui faisais un petit sourire qui se voulait sincère, même si la blessure à mon dos me faisait un mal de chien. Je n'osais même pas regarder l'état de ma veste, de peur de la voir déchirée, même si je sentais très clairement l'air frais s'incruster dans mon dos. Je regardais mon sauveur, sans savoir son nom.

- Je ne sais pas comment vous remercier.. Je pensais vraiment devoir aller à la gendarmerie pour ce vol..

J'eus à nouveau un petit sourire, puis regardais par terre. Mon sac remplis de flyers était à terre, et la moitié des papiers se dispersaient tout autour. Je soupirais et m'accroupissais, faisant abstraction de ma blessure au dos et du fait qu'il pouvait alors voir l'état de ma veste. Je ramassais mes prospectus, sans savoir trop quoi dire au jeune homme, mais je réfléchissais tout de même à un moyen de le remercier.



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Yamamoto Reita
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MessageSujet: Re: Cet éboueur, mon héros ! ; ft. Reita Cet éboueur, mon héros ! ; ft. Reita EmptyJeu 18 Déc - 21:37

"Non ce n'est pas la peine d'appeler quelqu'un, je vais bien, ne vous en faites pas.." Je pose les yeux sur elle, lui rendant son sourire par le mien. Tant mieux, si elle n'a rien... Mais vu comment elle est tombée, je me permets quand même d'en douter. "Je ne sais pas comment vous remercier.. Je pensais vraiment devoir aller à la gendarmerie pour ce vol.." Je ne réponds rien. A vrai dire, je n'ai pas besoin de remerciements... J'ai réagis automatiquement, et les imbéciles comme ce voleur devraient se faire défoncer la face un peu plus souvent. Malheureusement, je ne serai pas toujours dans le coin pour le faire. Mon attention est prise par un bruit de feuilles virevoltant sur le sol. Je regarde de quoi il s'agit : des prospectus, qui s'enfuient petit à petit à cause du vent. Quand je la vois les ramasser, je comprends tout de suite que tout cela lui appartient. De plus, je remarque que sa veste est dans un bien sale état. Comme je m'en doutais, elle s'est vraiment blessée au dos en tombant sur le muret.

J'enlève mes gants, les jette sur un coin du trottoir, avant de lui attraper le bras afin de la relever :

-Vous êtes blessée au dos, et pas qu'un peu. Ne vous penchez pas, je vais tout ramasser.

Je me mets de suite au travail, ramassant tous les documents au sol avant de les remettre dans le sac. Je garde dans ma main le dernier que je ramasse, pour y jeter un coup d'œil furtif, avant de lui rendre le reste. Alors c'est une esthéticienne... A domicile en plus.

-Ne me remerciez pas. C'est mon travail de ramasser les ordures.

Je ponctue ma phrase par un rire ironique. Finalement, la journée ne commence pas si mal... Du moins, pas comme habituellement. Je n'imaginais pas que je pourrais lui parler un jour, à cette Moon Hae Mi. A force de passer dans les alentours, et de m'arrêter devant chaque habitat, je retiens les noms de tous ceux qui vivent dans le coin et je sais exactement à quel endroit précis ils résident. Je récupère ensuite mes gants, avant de revenir vers elle :

-Vous devriez vous soigner avant que ça s'infecte... Heureusement que vous n'êtes pas loin. Si vous voulez, je peux vous raccompagner ? Ou alors, on se promène toujours avec un kit de soin au cas où, je peux juste aller le chercher au camion, et vous mettre un pansement ? Si vous n'avez pas le matériel chez vous.

On n'est pas toujours assez consciencieux pour avoir du désinfectant et des sparadraps chez soi, n'Est-ce pas ? Même moi je n'ai rien de tout ça, et quand je me coupe, je ne fais strictement rien. Je suis pas le genre à faire du chichi pour rien du tout...
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MessageSujet: Re: Cet éboueur, mon héros ! ; ft. Reita Cet éboueur, mon héros ! ; ft. Reita EmptyVen 19 Déc - 21:46



❝Cet éboueur, mon héros !❞
Moon Hae Mi & Yamamoto Reita
Non, je n'allais pas bien, en fait. Mon dos me faisait atrocement souffrir et le courant d'air sur ma blessure me démangeait. Mais je faisais comme si de rien n'était, souriante, comme toujours. Je n'étais déjà pas du genre à pleurer pour un rien, à faire comme certaines et mettre un pansement sur une petite coupure, comme une coupure faite avec un bout de papier. Je soignais même pas mes coupures, puisque mon gel désinfectant pour les mains se chargeait déjà de ça. Je m'occupais seulement des grosses douleurs, des grosses coupures ou des bleus qui me faisaient vraiment mal, mais sans pour autant faire une tonne de chichis et pleurer en allant dans les bras de l'homme le plus proche - histoire d'avoir sa compassion. Alors, je prenais sur moi-même, et je ramassais les prospectus sans rien dire, sans grimacer, en faisant abstraction de la douleur. Sauf que c'était sans compter cet homme qui était venu à mon aide, et qui me regardait ramasser tout ça. Il m'attrapait doucement les bras, m'empêchant ainsi de continuer de continuer à tout ramasser, et me releva. Je me laissais faire sans broncher, le regardant simplement. J'eus un très léger sourire lorsqu'il me fit la remarque que j'étais blessée au dos, moi qui comptais sur la nuit pour l'empêcher de le remarquer. Je le regardais alors faire, le remerciant très bas, presque silencieusement, lorsqu'il mettait les derniers dans le sac. J'eus un très léger rire lorsqu'il me disait que c'était son métier de ramasser les ordures.

- Vous ramassez vraiment tout, mes flyers, mais aussi moi..

J'avais un sourire amusé en disant ça, voulant rendre la situation moins dramatique qu'elle ne l'était. Et puis comme il disait qu'il ramassait les ordures, je faisais référence à moi en tant qu'ordure qu'il était venu ramasser, mais c'était bien sûr pour rire. Il me proposa par la suite de me soigner, ou plutôt, de faire le petit soin nécessaire à ma blessure puisqu'ils avaient un kit de premiers secours dans leur camion. Je remettais correctement mes cheveux hors de ma veste, sans vraiment remarquer mon geste, et je souriais à ses paroles.

- Non ça ira, merci. J'ai tout ce qu'il faut chez moi, je me soignerais, ne vous en faites pas pour ça..

Je prenais énormément soin de mes clients, mais aussi de moi. J'avais beau avoir un trolley rempli de produits de beauté et d'esthétique, j'avais aussi une bonne armoire à pharmacie, où étaient entreposés tous les médicaments mais aussi pansements et soins. Donc, il n'avait pas de soucis à se faire. Je me rendais compte assez soudainement que je n'avais même pas regardé si le voleur m'avait pris quelque chose. J'entrepris donc une fouille de mon sac, et fit une moue en voyant qu'il m'avait pris tout mon argent liquide, mais rien d'autre. Je soupirais avant de remettre correctement mon sac sur mon épaule.

- J'aimerais quand même vraiment vous remercier.. lui disais-je en le regardant, gardant tout de même ma moue sur le visage puisque je ne savais pas quoi faire pour le remercier.


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